A l'arrière de la maison il y a un passage couvert, fermé par des murs en pierre (1 m de haut environ) avec deux portillons à chaque extrémité. Ce couloir communique avec la buanderie. Les plus assidus d'entre vous se souviennent que la buanderie était autrefois une porcherie (qui a dit ça n'a pas changé ?). Le couloir était donc le préau de ces braves bêtes.
Comme nous n'élevons pas de cochons, nous utilisons ce préau pour enlever sabots et bottes avant d'entrer dans la buanderie (qui, je le rappelle, communique avec la maison) ... c'est bien pratique.
Et puis le chien arrive. Pas de problème pour le loger : une niche dans ce passage fera l'affaire et cet hiver la bestiole sera suffisamment habituée pour rester dans la maison la nuit ...
Mais le chien grandit et saute maintenant sur les murs en pierre pour sortir quand ça lui chante car il y a un espace entre le mur et le toit. D'où la fermeture ébauchée en juillet et terminée ce samedi. Le principe : des planches brutes de mélèze sciées en long pour ne plus faire que 9 cm de large, posées verticalement et écartées de 2,5 cm.
L'entrée du passage côté chemin avec la fenêtre de la buanderie à droite (z'avez vu le chat ?) ...
La même chose vue de l'intérieur ...
Bon, je vous rassure le chien sort toujours. En effet il faut maintenant remplacer les deux portillons bas par deux portes moins faciles à franchir par notre quadrupède. Ce sera pour la prochaine fois ...
Sinon, un peu de rangement, d'aménagements sous le hangar pour stocker d'autre bois ont occupé une partie du dimanche.
Bonne rentrée.
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